Selon le célèbre magazine l’étudiant, 9 titulaires de master sur 10 parviennent à s’insérer sans gros effort, sur le marché du travail. Pour beaucoup, le master revêt une valeur singulière, en ce sens qu’il symbolise cinq années d’études après le bac, la maitrise d’un domaine particulier, et la réussite à des concours ardus et compétitifs. Ceci étant, la question est de savoir si les masters ont la même valeur. Manifestement, non. Mais avant, voici une raison qui témoigne éloquemment de la valeur du Master, voire de la nécessité d’en obtenir un…
La majorité des détenteurs de Bachelor poursuivent un cursus master
Le Bachelor est un diplôme qui a connu un fort engouement ces dernières années, considéré comme valorisant et ouvert à l’international. Pourtant même les détenteurs de Bachelor choisissent dans leur grande majorité de poursuivre un cursus en Master. N’est-ce pas là une raison de crorie que le Master est un diplôme must-have ? Plus de 50% des titulaires de Bachelor intègrent un Master pour maximiser leurs chances et leur attractivité sur le marché de l’emploi. Quoique, tous les masters ne se valent pas…
En effet, tous les masters ne se valent pas
En tête de liste, des masters qui ont le vent en poupe, nous retrouvons les masters en Informatique, en Management, en Ressources humaines, en Génie civil, en Commerce, en Mathématiques, en marketing et les masters enseignement. Les titulaires de cette dernière catégorie de master ont la particularité de passer nécessairement par le concours de l’Education Nationale après leur formation.
Parmi les masters moins chanceux sur le marché de l’emploi, on retrouve les masters en Géographie, en Histoire, en Littérature, Archéologie…
A croire que les Masters à consonance un peu plus littéraires sont moins présents dans le collimateur des recruteurs. Inversement, l’on remarquera que les Masters portés vers les domaines de l’entreprise : Management, commerce, informatique, Ressources Humaines et ceux spécialisés dans des domaines techniques et scientifiques : Génie Civil, Mathématiques se portent bien sur le marché de l’emploi.